Paradoxalement, le format des reels permet aussi de mettre en avant de nouvelles voix, des gens plus « créateurs » qu’influenceur·ses. J’adore qu’entre deux vidéos de belettes on me propose carrément des minifilms emouvants (alloramomo <3), des sketchs de vulgarisation psycho/socio (Anna Akana) ou des cours de théologie avec des références à Game of thrones (miriam anzovin)
C'est effectivement pas une mauvaise chose, ça donne la parole a beaucoup plus de gens mais c'est aussi ça qui sonne "la fin de l'influence" à mon sens. Ce qui est pas forcément un mal.
Cet article m’a renversé le cerveau. Passionnant et bien écrit un pur plaisir ! Je suis en train de faire un detox des réseaux justement car j’avais la sensation que cela aggravait ma dépression et nuisait à ma créativité et mon ambition. En 24h sans réseau je me suis lancé sur Substack pour raconter justement cette expérience et qu’elle Liberte de raconter sans avoir peur des likes et des vues ! Et très heureuse de savoir que je ne suis pas seule dans ce besoin de sortir des monstres META !
J’ai découvert Substack l’année dernière et ça m’a apporté un immense soulagement de pouvoir proposer des posts plus longs. Ça faisait un moment que je n’en pouvais plus d’instagram, je n’arrivais plus à suivre cette pression incompatible avec le temps que nécessite la création. Mais je ne voyais pas vraiment d’alternative jusqu’à arriver par hasard ici 🙏🏻 Je me régale depuis un an, tant dans l’écriture que la lecture.
Ici c'est vraiment un mix twitter/newsletter/blog et le fait de proposer des abonnements payants c'est top pour que les créateurs vivent de leur travail. Le seul soucis ici c'est l'absence totale de support, si t'as un problème t'es dans la merde :/
@eleonore bridge hyper interessant. Je suis aussi lassee de l’hyper promo des comptes que je suis. Et je sens leur épuisement aussi et leur ras le bol. Mais alors si on suit votre raisonnement qui restera sur insta? La nelle generation?
D'année en année, je poste de moins en moins sur Instagram (en tant que micro entrepreneuse); heureusement que j'ai créé ma newsletter depuis des années et c'est dessus que je suis la plus active !
Mon objectif reste de continuer à développer mon audience sur ma newsletter et de continuer à poster encore moins sur Insta (actuellement environ 1 post par semaine)!
Merci mille fois pour ton analyse. Je me sens moins seule et ça me conforte par rapport à mes intuitions. De plus en plus frustrée par Instagram, je suis beaucoup plus heureuse de partager ma cuisine au sein de ma newsletter. Bonne journée.
Oui la newsletter ça reste ce qu'il y a de plus agréable et on se sent moins dépendante d'un système qui ne nous appartient pas, ici on peut choisir de déménager quand on veut
Merci pour cet article lucide et bien documenté. Je trouve aussi que c’est une très bonne chose : il y en a marre des RS, du contenu poubelle et des 15 minutes de célébrité dans le vide. Cela pousse à développer d’autres choses ailleurs, heureusement. Bon courage pour cette nouvelle étape post-influence !
Je crois vraiment que l'idée est pas forcément de déserter les réseaux sociaux, mais de réduire notre dépendance et de multiplier notre présence. Ici aussi ça peut devenir nauséabond à tout moment :)
Je n’ai encore pas lu, mais le titre de la newsletter et de l’article ont fait que je me suis de suite abonnée 😃😂
Paradoxalement, le format des reels permet aussi de mettre en avant de nouvelles voix, des gens plus « créateurs » qu’influenceur·ses. J’adore qu’entre deux vidéos de belettes on me propose carrément des minifilms emouvants (alloramomo <3), des sketchs de vulgarisation psycho/socio (Anna Akana) ou des cours de théologie avec des références à Game of thrones (miriam anzovin)
C'est effectivement pas une mauvaise chose, ça donne la parole a beaucoup plus de gens mais c'est aussi ça qui sonne "la fin de l'influence" à mon sens. Ce qui est pas forcément un mal.
Cet article m’a renversé le cerveau. Passionnant et bien écrit un pur plaisir ! Je suis en train de faire un detox des réseaux justement car j’avais la sensation que cela aggravait ma dépression et nuisait à ma créativité et mon ambition. En 24h sans réseau je me suis lancé sur Substack pour raconter justement cette expérience et qu’elle Liberte de raconter sans avoir peur des likes et des vues ! Et très heureuse de savoir que je ne suis pas seule dans ce besoin de sortir des monstres META !
Oui je pense aussi que les réseaux sociaux abiment aussi beaucoup les créatifs, c'est de plus en plus minant pour la confiance en soi.
Bravo et merci pour ce post, on est à la bonne place ici semble-t-il...
J’ai découvert Substack l’année dernière et ça m’a apporté un immense soulagement de pouvoir proposer des posts plus longs. Ça faisait un moment que je n’en pouvais plus d’instagram, je n’arrivais plus à suivre cette pression incompatible avec le temps que nécessite la création. Mais je ne voyais pas vraiment d’alternative jusqu’à arriver par hasard ici 🙏🏻 Je me régale depuis un an, tant dans l’écriture que la lecture.
Ici c'est vraiment un mix twitter/newsletter/blog et le fait de proposer des abonnements payants c'est top pour que les créateurs vivent de leur travail. Le seul soucis ici c'est l'absence totale de support, si t'as un problème t'es dans la merde :/
@eleonore bridge hyper interessant. Je suis aussi lassee de l’hyper promo des comptes que je suis. Et je sens leur épuisement aussi et leur ras le bol. Mais alors si on suit votre raisonnement qui restera sur insta? La nelle generation?
Je démarre sur insta et j’ai rapidement migré ici car je sens bien les problèmes éthiques inhérents à meta. Super article !
D'année en année, je poste de moins en moins sur Instagram (en tant que micro entrepreneuse); heureusement que j'ai créé ma newsletter depuis des années et c'est dessus que je suis la plus active !
Mon objectif reste de continuer à développer mon audience sur ma newsletter et de continuer à poster encore moins sur Insta (actuellement environ 1 post par semaine)!
Merci mille fois pour ton analyse. Je me sens moins seule et ça me conforte par rapport à mes intuitions. De plus en plus frustrée par Instagram, je suis beaucoup plus heureuse de partager ma cuisine au sein de ma newsletter. Bonne journée.
Oui la newsletter ça reste ce qu'il y a de plus agréable et on se sent moins dépendante d'un système qui ne nous appartient pas, ici on peut choisir de déménager quand on veut
Merci pour cet article lucide et bien documenté. Je trouve aussi que c’est une très bonne chose : il y en a marre des RS, du contenu poubelle et des 15 minutes de célébrité dans le vide. Cela pousse à développer d’autres choses ailleurs, heureusement. Bon courage pour cette nouvelle étape post-influence !
Je crois qu'on gagnerait tous à être lucides sur le sujet haha, l'influence c'est déjà mort et on a pas mal à gagner à passer à autre chose.
Je crois vraiment que l'idée est pas forcément de déserter les réseaux sociaux, mais de réduire notre dépendance et de multiplier notre présence. Ici aussi ça peut devenir nauséabond à tout moment :)